Construit par l’architecte Roebling puis par son fils après sa mort ( suite à une maladie infectieuse causée malencontreusement par une blessure à l’un de ses pieds alors qu’il marchait sur le chantier du pont encore en construction ! ! ), l’ex pont Great East River demeura longtemps comme le pont suspendu le plus long du monde avec plus de 2 kilomètres de passages en double voie. Il a fait immédiatement la fierté de tous les Etats-Unis. Ce fût une publicité énorme qui fit parler de la ville de new-york à l’ensemble du monde. Ce  « marketing achitectural » qui consiste à ériger la plus haute tour ou le plus long pont fait encore aujourd’hui les beaux jours des architectes. La tour nommée Burj Dubaï ou plus proche de chez nous le pont de Millau en sont de très bons exemples.

C’est d’ailleurs une très bonne idée que de combiner l’utilité de la construction d’un batiment avec les retombées médiatiques que cela peut entraîner. Malheureusement, de plus en plus, c’est l’inverse qui se produit. Les villes veulent faire construire les monuments les plus spectaculaires, uniquement pour faire parler d’eux. Dubaï en est d’ailleurs le meilleur exemple.

Le peintre Emile Renouf, l’écrivain April Jones Prince et son roman « 21 éléphants sur le pont de Brooklyn » ou encore l’artiste photographe Guillaume Gaudet font parti de ces nombreux artistes à avoir mis en valeur toute la beauté de ce pont aux dimensions colossales. Pour ne parler que de ce dernier, voici le pont de Brooklyn en photographie artistique.

Que ce soit en photos, en peinture, en sculpture ! ! ou en livre. Qu’est ce qui n’a pas été dit, écrit, photographié ou peint sur le Brooklyn Bridge. Sa structure démesurée, son histoire, la conception même de ses piliers et de ses câbles sont autant de matière utilisée par les photographes, écrivains, peintres et autres artistes pour décrire et sublimer ce monument de l’architecture New-yorkaise.