Un nouveau patron pour sauver Sony Ericsson.
Ecrit par: Roland
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Rien ne va plus pour le constructeur Sony Ericsson. La firme nippo-suédoise fabrique certes de beaux téléphones portables, mais dans son cas, cela ne suffit pas à assurer financièrement la société. Car Sony Ericsson se marginalise tout seul en ne se lançant pas dans les dernières tendances de smartphones tactiles. Pourquoi ? On ne le sait pas, mais peut-être qu’un nouveau patron au sein de Sony Ericsson va le relancer parmi les concurrents. Ces derniers trimestres, presque tout, financièrement, va mal pour Sony Ericsson. La raison derrière tout cela est très simple. Tous les concurrents du constructeur proposent des téléphones à écran tactile parce que c’est la tendance et parce que c’est ce qu’aiment les jeunes. Mais Sony Ericsson ne s’est pas lancé dans les smartphones tactiles ! Alors, ce qui se passe, c’est que ses excellents « Walkman » tels que « Yari » et « Aino » n’ont plus autant de succès qu’auparavant, car le marché attend autre chose de la marque.La crise est bien sûr pour quelque chose dans le mal-être de la firme nippo-suédoise. Mais pour redresser la barre, le constructeur fera appel à un nouveau patron à l’automne. Bert Nordberg devra remettre à flots Sony Ericsson, envisager de nouvelles stratégies. Pour faire du profit et rivaliser avec les autres concurrents sur le marché, il serait sage de considérer de créer un système d’exploitation pour Sony Ericsson aussi bien que des smartphones tactiles. Sony Ericsson a intérêt à tenir, 2009 et 2010 vont être décisifs, mais surtout rudes. Le nouveau dirigeant devra faire preuve d’innovation et de fermeté pour arriver à garder la firme hors du rouge ! soni, ericson, construecteur, concurents |
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| Signature article : Joanne Laroche Bert Nordberg reprendra Sony Ericsson en octobre. Sony Ericsson sera-t-il sauvé par son nouveau patron. |
A propos de l'auteur
Joanne Laroche a perdu ses parents à l’âge de 17ans, et c’est en
s’installant chez sa tante un an plus tard qu’elle décide de faire des
études à l’Institut de Journalisme de Bruxelles. Une voie toute tracée dans le
monde des médias l’attend car elle sera d’abord journaliste en Belgique, avant
de s’installer dans un appartement en plein Paris. Elle se perfectionne dans le
domaine et a aujourd’hui 15ans d’expérience dans le métier.
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