Les particularités de la finance islamique
Ecrit par: rubenxela
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Si on avait à définir en quelques paroles la singularité de la finance
islamique, on pourrait dire qu'elle se fonde en convenance avec le
droit islamique sur l'interdiction du profit et la responsabilité
sociale liée à l'investissement.
Dans cette perspective la arrose islamique intervient absolument dans
les transactions qu'elle arrose ; l'institution financière est
cofinanceur et ne s’octroyant pas la possibilité d'engendrer des gains,
elle se dédommage sur les produits relatives de l'affaire. Ceci est
notable pour les gains ainsi que les déficits.
De la perspective de l'institution financière Islamique, la monnaie est
et reste un simple accordeur de transaction. En outre, ceci n'entrave
pas les banques de conserver des capitaux. C'est simple, la banque ne
peut admettre de présenter du surplus seulement dans la mesure où ils
sont en amont changés en biens solides.
Qu'est-ce qui garantie de rendre légitime la marge financière par la charia ?
Ce qu'on appelle donc le bénéfice bancaire est permis dans le cadre de
la charia si elle sort d'une des activités suivantes : écoulement ,
coopération , location, fabrication.
Les banques islamiques ont de ce fait une aptitude marchande et
pécuniaire. Elles ne se contentent pas comme la plupart des organismes
financiers courants d'offrir de l’intermédiation monétaire, elles
interviennent et s'impliquent au cours de tout le procès de conception,
de transformation et de vente des moyens, avec une retombée digne de
n'importe quel collaborateur investi.
La finance islamique tient t-elle la route sur le long terme ?
Du fait de son nouveau accroissement mondial, la finance islamique est
généralement victime d'empêchements législatifs et de taxe non
avantageuse. C'est ainsi que des nations comme la Suède ou la Belgique
pour ne signaler que les plus éminents, ont arrangé leur système
législatif pour épurer ces empêchements et ces surcoûts. La France est
un peu en retard mais depuis l'année 2010 s'y met studieusement.
Ainsi, dans la résolution de continuer dans la légitimité islamique, les
instituts financiers ont mis en place des moyens accordables dont la
Moudaraba ou la Moucharaka entre autres. L'institution financière
islamique peut se permettre de vendre ou louer des bienfaits qu'elle
aura avant capté, ça correspond aux termes de contrats par lesquels un
bien immobilier est loué à une société et ne sera achetable qu'au bout
de la convention de location. Le vendeur peut d'autre part se rémunérer
notamment simplement avec l'édification de appartements, dans le
vocabulaire de la finance convenable avec la Charia, on nomme cela
Istsina .
En plus de ces instruments , il persiste pareillement des lois
correspondantes au caractère de l’activité pour qui un engagement
demeure approprié à la charia.
A propos de l'auteur
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