La vente en viager, une vraie solution pour les personnes âgées
Ecrit par: viagersla
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De nos jours, entre le coût de la vie qui ne cesse d’augmenter, les
retraites trop basses et non réindexées, les taxes foncières de plus en
plus importantes, les retraités ont parfois bien du mal à joindre les
deux bouts. Pour beaucoup, quitter la maison qui a demandé toute une
vie d’efforts et de privations est très difficile à envisager. En
effet, après plusieurs années passées dans ce lieu, il devient
indissociable de leur mode de vie : la maison elle-même, mais aussi le
quartier et ses habitudes, l’atmosphère du lieu, le simple fait de se
sentir chez soi… Tout cela rend pratiquement impensable l’idée de tout
quitter, alors même qu’on avait projeté de finir ses jours dans cette
maison.
Mais lorsque les charges deviennent plus importantes que
les rentrées d’argent, même lorsque l’on a quelques économies, il faut
bien se rendre à l’évidence que la situation ne pourra que se dégrader.
Comment concilier la volonté de garder sa maison et la nécessité de
faire face à cette crise financière ? Le viager immobilier
est alors une solution qui peut être considérée comme une grande
chance. En effet, ce type de vente est généralement assorti d’un «
bouquet », somme d’argent qui est due immédiatement au vendeur et
permet, le cas échéant, de finir de payer le prêt accordé au moment de
l’achat de la maison ou bien de rembourser les dettes que la
détérioration de la situation financière du vendeur avait provoquées.
Une rente mensuelle est ensuite versée au vendeur jusqu’à son décès,
qui retrouve ainsi son aisance financière.
Le viager occupé
permet de continuer à vivre dans sa maison tout en touchant cette rente
chaque mois. En cas de manquement au versement de cette rente de la
part de l’acheteur, la vente serait annulée. Au décès du vendeur, le
bien immobilier devient légalement la propriété de l’acheteur.
Mais une vente en viager libre
peut également être envisagée. Dans ce cas, le vendeur doit quitter sa
propriété (mais il peut aussi vendre de cette manière sa résidence
secondaire) et s’assure ainsi un revenu fixe jusqu’au jour de sa mort
sans les inconvénients liés à la location. L’acheteur peut donc
investir les lieux, et sera responsable de la maison comme s’il
s’agissait déjà de sa propriété, jusqu’au décès du vendeur, date à
laquelle il en deviendra pleinement propriétaire.
L’achat en
viager n’a jamais pu se défaire de son étiquette macabre, et beaucoup
de personnes refusent encore de sauter le pas parce que « c’est immoral
». Mais n’est-il pas tout aussi immoral de forcer les personnes âgées à
vivre dans la misère ou à quitter la maison dans laquelle ils voulaient
tant finir leurs jours ? En toute objectivité, n’importe qui
préfèrerait continuer à vivre dans sa propre maison, tout en touchant
une rente tous les mois, plutôt que de devoir partir habiter dans un
minuscule appartement. Quant à ceux qui craignent de déshériter leurs
enfants : compter sur un héritage, même si cela doit forcer ses parents
à vivre dans la misère serait un acte profondément égoïste, et chacun
devrait préférer renoncer à hériter un jour, en sachant que ses parents
finiront leur vie sans aucun souci matériel.
A propos de l'auteur
Le spécialiste de la vente en viager sur la région parisienne, c’est Viagers Lapous, qui vous accompagne dans toutes les étapes de votre achat en viager ou vous aide à la vente de votre propriété.
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