Les Couvreurles Couvreurs Et Le Rôle De Finitions Et Le Rôle De Finition
Ecrit par: Eric Blaise
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Une certaine sagesse populaire fait savoir qu'il est mieux de n'avoir pas commencé, pour de ne pas finir une tâche, un rôle, une activité qu'on assume. Cette sagesse, dans les proportions des activités quotidiennes, souligne le bien fondé qu'il y a toujours d'achever ce qui a été commencé, vu que c'est précisément après cette étape que la chose affirme son utilité. Sinon tous les efforts y consentis auraient été vains. Cette pensée aide dans un autre volet à justifier pourquoi une certaine opinion des autres, sur ce qui est entrepris, est généralement esquissée à la fin de la mise en branle de ce que l'on entreprend, même si au départ, le souci n'est guère d'attendre d'eux une opinion sur le propos. Que ce soit le cas ou pas, le fait de vivre avec les autres suffit dans toute société pour justifier le fait de garder en estime la nécessité de toujours bien entreprendre ce que l'on fait. Il faut bien, ne serait-ce que pour avoir ses repères en milieu social et se faire respecter, agir en considérant la présence des autres. Telle est la raison produisant la quête de soins, de tac et d'originalité dans l'exercice d'une tâche ou d'un projet, fut-il dans le domaine de la couverture de toits de maison, en parlant du rôle des couvreurs, dont le cas est appelé dans cette rédaction à faire l'objet des préoccupations.
Le premier souci supportant le projet d'une toiture de maison est la nécessité de protéger l'intérieur du bâtiment de la neige, du soleil, de la pluie, du froid, de l'humidité, des bruits extérieurs et bien d'autres. À ces projections essentielles se sont ajoutés le besoin de production d'un espace supplémentaire exploitable, d'une toiture épousant un dispositif sécuritaire de maison en matière de gestion thermique et de circulation d'eau, et enfin d'une structure produisant une esthétique extérieure de bâtiments, dont l'objectif épouse les considérations d'entrée. Dans une activité de construction, les stratèges convoqués pour remplir le volet sont généralement des couvreurs, professionnels formés dans la perspective des travaux de finition ou de réparation des toitures.
Les couvreurs, en effet, prennent d'emblée connaissance dans sa tâche des attentes des propriétaires du bâtiment, pour savoir comment organiser son intervention à la suite de celle du charpentier, maçon et autre. Il s'agira par ailleurs, pour ceux-ci, d'étudier les possibilités de commodités du type de toit commandé aux situations climatiques de la région. Le choix des matériaux (tuiles, ardoises, chaume, métaux…) de couverture et de la version même du type de couverture est lié à ces considérations, auxquelles s'ajoutent les exigences culturelles, géographiques et institutionnelles du socle de vie. Étant les hommes de finition dans le processus de construction, en ce qui concerne l'évolution des travaux vers le haut, ils doivent souvent, au départ, se rassurer de la solidité et de la fiabilité de la structure charpente devant abriter la couverture qu'il s'apprête à poser; ce qui de fois l'amène à s'intéresser aux tâches de ses prédécesseurs susmentionnés un peu plus haut. À l'occasion, cet intérêt permet dans la plupart de cas que ce dernier puisse acquérir les techniques annexes dans la maçonnerie, la charpente, l'électricité, la vitrerie…
De même que la typologie des différents éléments est diversifiée, les spécialités aussi divergent en couverture toit, même si actuellement, la majorité des couvreurs œuvrent aisément dans les différentes spécialités du domaine voire au-delà. Traditionnellement, ce sont des personnes pouvant soit travailler en solitaire, soit travailler en équipe avec les autres artisans investis dans les travaux de toitures. Pour un homme de finition, dont l'issue de l'intervention attirera même par simple curiosité les appréciations, faire preuve de calme, de méthode, de précision, savoir travailler en équipe et individuellement, avoir le sens de l'équilibre… et d'être mobiles, est sine qua non pour accompagner la bonne prestation de son exercice.
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Eric Blaise
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