Je dois avouer que Bioshock n’était pas un jeu que j’attendais particulièrement et dont j’avais suivi le développement. J’ai même été surpris quand, à quelques jours de sa sortie, les clients ont afflué pour le réserver. La démo présente sur le Live avait su séduire les masses. N’étant toujours pas un spécialiste des FPS, même après The Darkness, j’ai quand même eu la curiosité de me mesurer à ce titre qui fait tant parler.

Rapture, c’est l’Utopie ?

Le jeu nous plonge d’emblée dans un environnement étonnant : Rapture. Rapture est une cité créée par Andrew Ryan, un ingénieur de génie qui, comme tous les génie, est un peu fou. Il refuse la société telle qu’elle est et telle qu’elle se dessine (l’action se déroule en 1946). Il construit donc son utopie pour l’élite : les sportifs, les artistes, les chercheurs et autres riches industriels. Pour assurer à Rapture une vie en totale autarcie et pour éviter les risques de pollution du monde extérieur, n’oublions pas que l’Enfer, c’est les autres ; son monde est situé dans les profondeurs des océans. Evidemment, nous avons tout de suite envie de savoir comment la vie se déroule dans le paradis imaginé par Andrew Ryan. La réponse ne tarde pas à venir. Le monde dans lequel vous allez devoir évoluer est dévasté, c’est le chaos, pire des créatures étranges sont présentes et visiblement, elles ne vous veulent pas que du bien…

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