La Nintendo 64 avait inauguré le concept avec Paper Mario, le GameCube l’avait repris en lançant Paper Mario : La porte Millénaire, il était logique que la dernière née des consoles de chez Big N reprenne l’idée en sortant Super Paper Mario. Le célèbre plombier moustachu évolue cette fois dans un monde en 3 Dimensions et cette fois, ce n’est pas la Princesse Peach qu’il doit sauver des griffes de l’affreux Bowser, mais le monde entier qui risque de disparaître sous les intentions du maléfique Niark.

Présentation

La cinématique d’introduction nous amène à un mariage. Non, Mario et Peach ne se sont toujours pas décidés à célébrer leur union, mais il s’agit bien d’unir cette demoiselle au Seigneur Bowser «jusqu’à ce que le game over les sépare». Oui, vous avez bien lu. Bowser va enfin réaliser son rêve ! Cependant, ce n’est pas lui qui est cette fois l’instigateur de ce complot contre sa blondesse.
En effet, un nouveau méchant fait son apparition dans l’univers de Mario, j’ai nommé le Comte Niark, venu tout droit du monde des enfers, il en veut au monde entier. En lisant le mystérieux livre de l’Opus Tenebrus, il a appris que l’on pouvait détruire tous les mondes existant dans l’univers et c’est en unissant Peach et Bowser que son vil dessein va pouvoir commencer à s’accomplir.
Le sauvetage des mondes repose sur les épaules du héros annoncé par l’Opus Luminus, un petit bonhomme moustachu vêtu de rouge et de bleu (comme de par hasard). Et c’est ainsi que l’aventure commence.

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